Cette semaine reprend avec le cinquième grand impact du monde du digital sur le comportement des Natives. EMPREINTES DIGITALES : N°5
EMOTION-CENTRIC S'il existe un monde où se démarquer est un exercice de style, c’est bien le monde digital. Plus de 240 millions de sites web (un doublement en trois ans), 150 millions de vidéos sur YouTube.
Tout contenu se doit de rivaliser d’audace pour capter l’attention. C’est le royaume de l’émotion. Qui offre le plus de frissons attire le mieux l’attention. D’autant plus que le temps moyen passé sur un site est en moyenne de 56 secondes… Le plaisir doit être intense, fort, immédiat. Tout à fait comme dans chatroulette où on ‘next’ au moindre signe d’ennui.
Un comportement qui va se retrouver dans toute la consommation media : quand la star ac devient molle, le plus extrême Secret Story vient au secours de TF1.
Quand le cinéma se pirate sur la toile, la 3D lui rend ses lettres de plaisir.
Sur Facebook on ne dit pas « ça m’intéresse » ou « c’est juste » mais « j’aime ».
Un mouvement difficile à cerner car il ne s’agit pas simplement d’une pirouette de forme. C’est en fait un mouvement qui demande de voir un produit, un discours, un moment d’entertainment sous un jour émotionnel et non plus juste rationnel.
Pour nos métiers de marketing, il s’agit donc de porter le rationnel des discours de marques, en surprenant. Car ce nouveau public ne retient que ce qui l’étonne, l’époustoufle, le fait rire souvent même.
Les marques qui marquent, celles que l’on veut porter, utiliser et donc acheter sont celles qui surprennent le plus. Car en provoquant ces émotions, le marques redeviennent source de plaisir, valorisent l’actif (vs le passif), et favorisent le partage au sein d’une même communauté.
Et c’est bien l’avantage, car toute source de plaisir est maintenant partagée, permettant aux marques qui l’ont compris de démultiplier leurs efforts marketing. Un effet dont ont largement profités Fight for Kisses de Wilkinson, tout comme les bébés d’Evian, devenu un record mondial. Demain, Empreinte N°6: prenez le raccourci...
Adweek’s 2009 Global Agency of the Year This transmission is intended solely for the person or organization to whom it is addressed and it may contain privileged and confidential information. If you are not the intended recipient you should not copy, distribute or take any action in reliance on it. If you believe you received this transmission in error please notify the sender.
EMOTION-CENTRIC S'il existe un monde où se démarquer est un exercice de style, c’est bien le monde digital. Plus de 240 millions de sites web (un doublement en trois ans), 150 millions de vidéos sur YouTube.
Tout contenu se doit de rivaliser d’audace pour capter l’attention. C’est le royaume de l’émotion. Qui offre le plus de frissons attire le mieux l’attention. D’autant plus que le temps moyen passé sur un site est en moyenne de 56 secondes… Le plaisir doit être intense, fort, immédiat. Tout à fait comme dans chatroulette où on ‘next’ au moindre signe d’ennui.
Un comportement qui va se retrouver dans toute la consommation media : quand la star ac devient molle, le plus extrême Secret Story vient au secours de TF1.
Quand le cinéma se pirate sur la toile, la 3D lui rend ses lettres de plaisir.
Sur Facebook on ne dit pas « ça m’intéresse » ou « c’est juste » mais « j’aime ».
Un mouvement difficile à cerner car il ne s’agit pas simplement d’une pirouette de forme. C’est en fait un mouvement qui demande de voir un produit, un discours, un moment d’entertainment sous un jour émotionnel et non plus juste rationnel.
Pour nos métiers de marketing, il s’agit donc de porter le rationnel des discours de marques, en surprenant. Car ce nouveau public ne retient que ce qui l’étonne, l’époustoufle, le fait rire souvent même.
Les marques qui marquent, celles que l’on veut porter, utiliser et donc acheter sont celles qui surprennent le plus. Car en provoquant ces émotions, le marques redeviennent source de plaisir, valorisent l’actif (vs le passif), et favorisent le partage au sein d’une même communauté.
Et c’est bien l’avantage, car toute source de plaisir est maintenant partagée, permettant aux marques qui l’ont compris de démultiplier leurs efforts marketing. Un effet dont ont largement profités Fight for Kisses de Wilkinson, tout comme les bébés d’Evian, devenu un record mondial. Demain, Empreinte N°6: prenez le raccourci...
Adweek’s 2009 Global Agency of the Year This transmission is intended solely for the person or organization to whom it is addressed and it may contain privileged and confidential information. If you are not the intended recipient you should not copy, distribute or take any action in reliance on it. If you believe you received this transmission in error please notify the sender.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire