jeudi 27 mai 2010

Digital natives, du gratuit, du gratuit. Alors comment s'en sortir? L'empreinte N°7

EMPREINTES DIGITALES : N°7
JE M’EN PAYE… SI C’EST GRATUIT.

Le digital est vraiment l’avènement de l’économie du gratuit. Que cela plaise aux législateurs, majors, medias… l’internet ne coûte a priori rien.
Ils sont 11 millions de Français à télécharger des contenus sans les payer, sur BitTorrent 850 000 fichiers sont téléchargeables gratuitement.
Et tout est à portée de main : logiciels, films, jeux, livres et musique bien sûr.
Même sans tricher puisque Deezer, Spotify et Last FM par exemple vous mettent tout le contenu que vous souhaitez en streaming, sans même utiliser votre disque dur.

Une économie qui a un certain grain de "Magie" qui est cependant devenue norme.
Une magie que les digital natives vont donc demander aux marques d’apporter si elles veulent avoir leur attention et leur portefeuille.

Une marque voulant leur parler va devoir apprendre une de trois choses :

-
L’expérience sans engagement, le test, la possibilité de sortir d’un contrat à tout moment et sans pénalité, le satisfait ou remboursé, sont autant de formules à succès. Et leur contraire est souvent devenu source de conflit.
- La récompense immédiate, tout y est propice: l’attention prêtée, le temps accordé, la fidélité, ou l’influence exercée. Un exercice qu’a bien compris un réseau que je trouve personnellement passionnant s’appelant ctzar. Un des meilleurs exemples en son genre de gestion de communauté.
- L’impossible devenu réalité. Une marque comme H&M en est devenu coutumier. Offrir une veste Lagerfeld à moins de 100 euros, une paire de Jimmy Choo à un peu plus de 100 euros, les digital Natives attendent que les marques développent au cœur même de leur offre la magie qu’ils ont l’habitude de vivre sur le Web.

  Une tendance qui est plus que stimulante car elle remet la différenciation au cœur de l’offre des marques, loin des simples appellations ou gadgets marketing.  Pour nous rappeler comme le dit Addidas que "impossible is nothing"…

Demain, suite et fin: you’ve lost the power...

Posted via email from #think: Freddie's posterous

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